Spectacle captivant
À la suite de la première représentation de Die Tote Stadt (La Ville morte) d’Erich Wolfgang Korngold à l’Opéra de Paris, l’œuvre a fait une entrée remarquée dans le répertoire lyrique de la maison. La mise en scène de Willy Decker nous plonge dans l’univers psychologique complexe du protagoniste, Paul, dont les rêves et cauchemars se mêlent à la réalité de manière envoûtante. À ce sujet, le site Forum Opéra souligne que l’« onirisme et réalisme se confondent sans troubler la lisibilité de l’action et de la direction d’acteur » .
Direction musicale exceptionnelle
Sous la direction de Pinchas Steinberg, l’Orchestre de l’Opéra a su restituer la richesse et la subtilité de la partition de Korngold. Le Figaro décrit l’orchestre comme étant « rarement entendu aussi flamboyant », tandis que Steinberg « écoute les chanteurs, pour qui cette œuvre est une montée du Cervin à mains nues » . Cette dynamique crée une expérience auditive immersive qui captive le public.
Des performances mémorables
Doris Lamprecht, dans le rôle de Brigitta, émerge comme une interprète à la fois sensible et puissante, captivant l’auditoire avec une présence scénique impressionnante. Le critique de Forum Opéra note : « Rien que des éloges sur les seconds rôles, Doris Lamprecht en tête, émouvante Brigitta, d’une plénitude vocale que nous avouons ne pas lui avoir soupçonnée jusque-là. » Le Figaro, quant à lui, met en lumière sa flexibilité vocale en la qualifiant de « caméléonne » qui excelle dans différents répertoires .
Conclusion : Une œuvre à redécouvrir
Cette production de Die Tote Stadt s’est révélée être un événement marquant, tant par son esthétique que par ses performances. Le public, visiblement ému, a pu apprécier la profondeur de cette œuvre souvent méconnue. Pour plus de détails sur la production, vous pouvez consulter l’article complet sur Forum Opéra et le critique du Figaro.
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